Note [9] |
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Sans doute faut-il comprendre qu’Abel Servien en personne avait fait appel aux bons soins de Guy Patin, pour lui-même ou quelqu’un de sa maison, ce dont notre médecin se trouvait tout flatté et sans doute lesté de quelques beaux louis d’or. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 21 juillet 1654, note 9.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0360&cln=9 (Consulté le 28/03/2024) |