À Charles Spon, le 24 avril 1657, note 9.
Note [9]

« Voilà déjà plus de cinq jours qu’il survit ; et même il vit encore et a atteint ce septième jour d’Hippocrate, au delà duquel la vie ne peut être prolongée. » Guy Patin a ajouté cette phrase et la suivante dans la marge, sans doute en deux temps. Il ne faut bien sûr pas conclure de la seconde que Patin a été emprisonné trois mois, mais simplement qu’il a mis trois mois à se remettre d’une visite au chevet d’un détenu.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 24 avril 1657, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0478&cln=9

(Consulté le 20/04/2024)

Licence Creative Commons