À Charles Spon, le 19 septembre 1659, note 9.
Note [9]

Guy Patin voulait parler non pas de ses propres thèses de bachelier, mais des trois thèses qu’il avait écrites et présidées jusque-là : en 1627, pour la quodlibétaire de Georges Joudouin (v. note [10], lettre 3), « sur la passion utérine » ; en 1643, pour la quodlibétaire de Paul Courtois, « L’homme n’est que maladie » ; en 1647, pour la cardinale de Jean de Montigny sur la Sobriété.

Patin avait levé le nez de ses livres pour épouser Jeanne de Janson le 10 octobre 1628.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 19 septembre 1659, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0579&cln=9

(Consulté le 29/03/2024)

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