À André Falconet, le 20 avril 1660, note 9.
Note [9]

« par leurs poisons métalliques, pour tromper les imprudents sous prétexte de nouveauté ? Ô trafic exécrable, ô crime horrible, mais à quoi bon s’en plaindre ! »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 20 avril 1660, note 9.

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(Consulté le 18/04/2024)

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