Note [9] |
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« De la blessure infligée demeurera une cicatrice qui ne s’effacera pas facilement. “ L’avare manque toujours de tout ” [Horace, Épîtres, livre i, lettre 2, vers 56]. » La « petite disgrâce » dont Philibert Morisset, récent doyen de la Faculté de médecine, avait été victime au chevet du fils de la duchesse de Rohan (et dont il demandait réparation) a été évoquée à la fin de la lettre à Falconet datée du 8 décembre 1662, mais je n’en ai pas trouvé le motif exact. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 19 janvier 1663. Note 9
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