À Johannes Antonides Vander Linden, le 19 novembre 1655, note 9.
Note [9]

V. note [17], lettre 315, pour la haine proverbiale que le peuple romain nourrissait contre le consul Vatinius.

Pour montre la sienne, Guy Patin accusait ici, une nouvelle fois, François Guénaut d’avoir occis tour à tour quatre de ses proches cités dans la note [8] supra.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 19 novembre 1655, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1076&cln=9

(Consulté le 24/04/2024)

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