De Julien Bineteau, le 1er octobre 1651, note 9.
Note [9]

« il appartient au bourreau, et même au tortionnaire, mais non pas au médecin, de faire couler le sang humain et le répandre à profusion ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Julien Bineteau, le 1er octobre 1651, note 9.

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(Consulté le 25/04/2024)

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