Note [1] |
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Ce qui restait de vieux bourgogne dans la cave de Guy Patin après le festin de son décanat (v. lettre à Falconet du 2 décembre 1650) venait de servir à célébrer dignement le doctorat de son fils Robert, disputé le 19 décembre (v. note [27] des Actes de 1650‑1651 dans les Commentaires de la Faculté de médecine de Paris), après sa vespérie du 1er décembre (v. note [23] des mêmes Actes) et avant sa pastillaire (régence) du 19 janvier suivant (v. note [30] des mêmes Actes). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 30 décembre 1650, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0254&cln=1 (Consulté le 04/05/2024) |