À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 22.
Note [22]

« et chez qui n’est pas encore morte cette partie du corps qui jadis faisait de lui un Achille » ; Pétrone (Satyricon, cxxix) :

Crede mihi, frater, non intellego me virum esse, non sentio. Funerata est illa pars corporis, qua quondam Achilles eram.

[Crois-moi, mon frère, je ne sens plus que je suis un homme. Elle est morte, cette partie de mon corps qui jadis faisait de moi un Achille].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 22.

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(Consulté le 10/10/2024)

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