À Charles Spon, le 16 octobre 1657, note 34.
Note [34]

« Ô misérable France, où les ventres des magistrats se gavent du sang des misérables gens ! » (v. note [29], lettre 606).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 octobre 1657, note 34.

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(Consulté le 28/03/2024)

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