Note [5] |
|
« Se sentir encore du maître ès arts » était ici avoir encore la fraîcheur et la naïveté, un peu niaises, du jeune philiatre (étudiant en médecine) sans expérience des ruses du métier. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 août 1650, note 5.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0240&cln=5 (Consulté le 20/04/2024) |