À Charles Spon, le 5 février 1658, note 1.
Note [1]

« En cette maladie, dit-on, a été caché quelque chose de vénérien » ; François Guénaud était parti à Gand soigner le prince de Condé, qui souffrait de troubles urinaires (v. infra note [14]).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 février 1658, note 1.

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(Consulté le 17/04/2024)

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