À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656, note 10.
Note [10]

Le libre commerce du tabac était alors assuré par les herboristes et droguistes, concurrents ouverts des pharmaciens (apothicaires) car ils vendaient au public des remèdes végétaux simples et peu coûteux ; ceux que recommandaient notamment le Médecin charitable ou le Traité de la Conservation de santé, si chers à Guy Patin.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1086&cln=10

(Consulté le 19/04/2024)

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