À Johannes Antonides Vander Linden, le 3 novembre 1656, note 10.
Note [10]

La courte lettre était celle du 2 juillet et la plus longue, celle du 7 juillet 1656 (mais Guy Patin n’en faisait plus trois pages comme au début de celle-ci).

Il est surprenant de voir Patin hésitant sur les dates et les longueurs de brouillons qu’il avait conservés. On peut imaginer que le désordre de son étude lui ôtait le courage de remettre la main dessus.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 3 novembre 1656, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1095&cln=10

(Consulté le 29/03/2024)

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