À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 14.
Note [14]

« Catulle {a} a appelé le printemps tiède à cause de sa tépidité : {b} quand le printemps est tiède, alors c’est une année très douce. »


  1. Catulle, Poèmes, xlvi, vers 1‑3 :

    Iam ver egelidos refert tepores,/ iam cæli furor æquinoctialis/ iucundis Zephyri silescit aureis.

    [Déjà le printemps ramène les tièdes chaleurs ; déjà la fureur du ciel équinoxial s’apaise aux souffles agréables du Zéphyr].

  2. Tiédeur.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 14.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0099&cln=14

(Consulté le 03/05/2024)

Licence Creative Commons