À André Falconet, le 2 décembre 1650, note 15.
Note [15]

L’extrême-onction était le sixième et dernier sacrement de l’Église romaine, qu’on donnait aux agonisants avec des huiles sacrées, dont on oignait « les parties où les cinq sens résident, et par où on a pu pécher » (Furetière). Elle pouvait s’accompagner, mais on la distinguait du viatique qui était la communion qu’on portait aux personnes gravement malades.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 2 décembre 1650, note 15.

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(Consulté le 20/04/2024)

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