Note [15] |
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« Si Vulcain prit parti contre Troie, Apollon [v. note [8], lettre 997] se déclara pour elle » (Ovide, Les Tristes, livre i, Élégie ii, vers 5). La dispute des prélats aurait été un autre effet de l’affaire des gardes corses (v. supra note [1]) qui faisait craindre le déclenchement d’une guerre entre la France et les États pontificaux. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 24 octobre 1662, note 15.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0735&cln=15 (Consulté le 21/09/2024) |