À André Falconet, le 4 novembre 1650, note 2.
Note [2]

C’était, grâce aux interventions des amis lyonnais de Guy Patin, le dénouement heureux de l’affaire du Patinus fustigatus [Patin fouetté] (v. note [3], lettre 243) : Arnaud, sans doute sous la menace de poursuites judiciaires, avait renoncé à faire paraître son pamphlet contre la thèse de Guy Patin sur la Sobriété (disputée par Jean de Montigny, sous sa présidence, le 14 mars 1647), critique virulente des méthodes chimiques qui lui avait déjà valu un procès qu’il avait gagné contre les apothicaires (v. note [6], lettre 143).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 4 novembre 1650, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0247&cln=2

(Consulté le 20/04/2024)

Licence Creative Commons