À Charles Spon, le 4 août 1654, note 20.
Note [20]

« comme étant un animal ridicule, excessivement menteur, tuant impunément les hommes sous prétexte de pratiquer une médecine plus pure. Vôtre de tout cœur, G. Patin. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 4 août 1654, note 20.

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(Consulté le 19/04/2024)

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