À Charles Spon, le 30 août 1655, note 21.
Note [21]

Dans les premiers mois de 1655, Guy Patin a fait quelques allusions au procès en appel que Marie Seignoret, belle-sœur de Charles Spon, avait engagé devant la première Chambre des enquêtes (v. note [7], lettre 389).

Ce « frère ingrat et méchant » pouvait être le propre frère de Marie, Jacques Vincent, ou son époux, Étienne Seignoret, frère puîné de Marie Spon, l’épouse de Charles.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 30 août 1655, note 21.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0413&cln=21

(Consulté le 27/04/2024)

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