À Charles Spon, le 3 septembre 1649, note 22.
Note [22]

« tant à cause de l’auteur, mon ami le plus doux, qu’à cause du savoir varié et de l’érudition étendue qui y séduiront de toutes parts ».

Le Jugement de tout ce qui a été imprimé… est présenté sous la forme d’un dialogue entre le libraire Saint-Ange, d’Aix-en-Provence, et l’imprimeur Mascurat, de Paris.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 3 septembre 1649, note 22.

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(Consulté le 29/03/2024)

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