À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 26.
Note [26]

« par les deux veines basiliques [v. note [3], lettre 144], pour tempérer l’ardeur et éteindre l’acrimonie du sang trop abondant ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 septembre 1650, note 26.

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(Consulté le 19/04/2024)

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