À Claude II Belin, le 24 mai 1630, note 3.
Note [3]

Bernard Perrier (Pererius), natif de Montpellier, y obtint sa licence de médecine en mars 1616 et son doctorat en février 1617. Dulieu donne les titres de ses quatre thèses :

  • An maleficia venerea remediis physicis curari quærant ? [Est-ce que les maladies vénériennes ont besoin d’être soignées par les remèdes physiques ?] ;

  • An (quemadmodum morbi hæreditarii) ita et animi mores nobis a parentibus esse possint ? [L’esprit et les mœurs (à la manière des maladies héréditaires) pourraient-ils nous être transmis par nos parents ?] ;

  • An in περιπνευμονια venæ sectio ? [Faut-il employer la saignée dans la péripneumonie ?] ;

  • An calculo renum terebinthina Veneta ? [Faut-il employer la térébenthine de Venise (de mélèze) dans le calcul des reins ?].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 24 mai 1630, note 3.

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(Consulté le 23/04/2024)

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