À Charles Spon, le 10 janvier 1650, note 3.
Note [3]

« Est-ce parce que la Nature, soulagée par le bienfait de la saignée, a facilement surmonté ce qui subsistait de l’empoisonnement ? ou parce qu’un scorpion de cette espèce était dépourvu de venin ? ou parce que l’emploi des thériaques et alexipharmaques de cette sorte dans ce genre de blessures n’est ni aussi sûr, ni aussi nécessaire que beaucoup le pensent ? »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 janvier 1650, note 3.

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(Consulté le 24/04/2024)

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