À Johann Theodor Schenck, le 1er octobre 1665, note 3.
Note [3]

Guy Patin savait sans doute que Johann Theodor Schenck n’était pas un descendant de Johann Schenck von Graffenberg, alors renommé pour ses Observationes medicæ rariores… [Observations médicales plus que rares…] (Francfort, 1600 et 1665, Lyon, 1644, v. note [6], lettre 72). Le père de Johann Theodor, Eusebius Schenck (1569-1618), professeur de médecine à Iéna, n’a laissé aucun ouvrage mémorable.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Theodor Schenck, le 1er octobre 1665, note 3.

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(Consulté le 19/04/2024)

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