Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 3 manuscrit, note 30.
Note [30]

Celui que l’abbé de Tiron appelait « notre très sage Maître » pourrait avoir dû son impotence à une ataxie syphilitique (tabès dorsal, v. note [17] du Naudæana 2). Toutefois, Duperron, mort en 1618, avait séjourné à Rome de 1604 à 1606, et la vérole (telle qu’on l’a connue avant l’invention de la pénicilline, au milieu du xxe s.) aurait donc mis douze ans à tuer sa victime (ce qui n’est pas du tout incncevable). V. note [9], lettre 122, pour son traitement qui consistait principalement à faire suer l’humeur morbifique.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 3 manuscrit, note 30.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8204&cln=30

(Consulté le 25/04/2024)

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