À Charles Spon, le 5 février 1658, note 31.
Note [31]

« ce sont des fièvres hivernales, dont la malignité est accrue par le froid ambiant qui empêche la transpiration. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 février 1658, note 31.

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(Consulté le 18/04/2024)

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