Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 1 manuscrit, note 37.
Note [37]

« Page 32, “ Mieux vêtu qu’un oignon de Gascogne ” » : annotation ajoutée dans la marge de gauche, qui est expliquée par un vers français extrait de la quatrième référence de la liste qui suit (v. troisième notule {d} infra).

Le Borboniana cite ici trois des pamphlets (auxquels j’en ai greffé deux autres) attribués au P. François Garasse. {a}

  1. Horoscopus Anticotonis, eiusque Germanorum Martillerii, et Hardivillerii, Vita, Mors, Cenotaphium, Apotheosis, Antiiesuitis, et omnibus Calvini Catulis Ministris, Vigilantiis, Dormantiis, Antiquis, Novis, Novantiquis, Informibus, Reformatis, Mustricoraliis, Cerdonibus, Hortulantis, Vespillonibus et toti Excucullatorum gregi. Auctore Andrea Schioppio, Gasparis fratre,

    [Horoscope de l’Anticotton, {b} sa vie, sa mort, son tombeau, son apothéose, ainsi que celui de ses frères La Martilière et Hardivilliers : {c} aux antijésuites et à tous les ministres petits chiens de Calvin, éveillés comme endormis, anciens comme nouveaux ou néo-anciens, mal formés comme réformés, cordonniers comme savetiers, jardiniers comme croque-morts, et à tout le troupeau des moines défroqués. Par Andreas Scioppius, {d} frère de Caspar]. {e}


    1. Mort en 1631, et non pas en 1632, alors qu’il prodiguait courageusement des soins aux pestiférés de Poitiers, v. note [1], lettre 58.

    2. L’Anticotton est un pamphlet de l’abbé Jean Du Bois-Olivier publié anonymement en 1610 contre le théologien jésuite Pierre Cotton, accusé d’avoir contribué à l’assassinat du roi Henri iv : v. note [9], lettre 128.

    3. Deux avocats de l’Anticotton qui l’avaient défendu contre la Compagnie de Jésus.

    4. Dans ce brûlot antiprotestant, Garasse s’est dissimulé sous le pseudonyme d’Andreas Scioppius, frère fictif de Caspar Scioppius frénétique ennemi des jésuites (v. note [14], lettre 79).

    5. Sans lieu, Hieronymus Verdussius, 1614, in‑8o de 34 pages.

      Bamberg est une ville bavaroise de Haute-Franconie, mais Verdussius était un imprimeur d’Anvers.


  2. Garasse a de nouveau employé ce pseudonyme dans son :

    Elixir Calvinisticum seu Lapis Philosophiæ Reformatæ, a Calvino Genevæ primum effosus, dein ab Isaaco Casaubono Londini politus. Cum Testamentario Anticotonis Codice nuper invento, et ad fidem M.S. membranæ castigato, reformatoque. Ad Anglogallicanos præsumptæ Reformationis fratres. Auctore Andrea Schioppio Gasparis fratre.

    [Élixir calviniste, ou la Pierre philosophale réformée, d’abord déterrée par Calvin à Genève, puis polie par Isaac Casaubon {a} à Londres. Avec le texte testamentaire de l’Anticotton, fidèlement corrigé et revu sur la foi du parchemin manuscrit. Contre les frères anglo-gallicans de la présumée Réforme. Par Andreas Scioppus, frère de Caspar]. {b}


    1. V. note [7], lettre 36.

    2. Au Pont de Charenton, Jean Molitor, 1615, in‑4o de 46 pages.

  3. Le Rabelais réformé par les ministres, et nommément par Pierre Du Moulin, {a} ministre de Charenton, {b} pour réponse aux bouffonneries insérées en son livre de la vocation des pasteurs. {c}

    Garasse y attaquait le livre De la Vocation des pasteurs par Pierre Du Moulin, ministre de la parole de Dieu en l’Église de Paris. {d} L’épître de Garasse Aux ministres des Églises prétendues de France touchant l’humeur de Pierre Du Moulin donne le ton et explique le titre du Rabelais réformé (pages 6‑7) :

    « Du Moulin ne pouvait faire une plus grande brèche à votre religion qu’en écrivant de cette manière ridicule, et traduisant les choses saintes en farces et comédies. J’en appelle à votre propre conscience, si vous avez aucun sentiment de piété, car vous n’êtes pas si nouveaux en la lecture des livres et de l’Histoire sacrée que vous ne sachiez la ruine que Lucian cuida porter {e} à la religion chrétienne par ses moqueries et impiétés ; et nouvellement, nous éprouvons quel débordement a ravagé les esprits par la lecture de Rabelais. Calvin s’éleva peu après avec le double esprit de ces deux faux prophètes : venimeux comme Lucian, dont il portait le nom par un fatal et malheureux anagramme, et bouffon comme Rabelais, {f} dont il avait lu les œuvres et humé le libertinage, ce personnage avait causé de grands dégâts dans l’Église, tant par le venin de sa plume enragée que par ses traits de bateleur, qui se voient en toutes les pages de ses opuscules, et dont il se glorifiait, au rapport de Baudouin en son Apologie, se flattant en ce qu’il était, à son dire, de l’humeur de Socrate, c’est-à-dire bouffon et ironique. {g}

    Or, comme l’impiété et l’orgueil de ceux qui haïssent Dieu monte toujours, dit le Prophète royal, {c} Pierre Du Moulin s’est élevé de notre temps, garni de l’esprit de ces trois bouffons : archibouffon et maître des moqueurs, ayant pour son partage l’impiété de Lucian, la rage de Calvin, et les sornettes de Rabelais, humeur qui prédomine en lui, comme la bile noire commandait en l’esprit de Calvin. »


    1. Premier du nom, v. note [29], lettre 29.

    2. Temple calviniste de Paris, v. note [18], lettre 146.

    3. Bruxelles, Christophe Girard, 1619, in‑8o de 248 pages ; avec cette citation de saint Pacien (évêque de Barcelone au ive s.) en exergue de son titre : Christianus mihi nomen est, Catholicus vero cognomen [Mon prénom est Chrétien, mais mon nom est Catholique] (lettre de Pacien à son frère Sympronian).

    4. Sedan, Jean Jannon, 1618, in‑8o de 357 pages.

    5. « la ruine que Lucien de Samosate [v. note [14], lettre 41) pensa porter… »

    6. Garasse donnait à Lucien son autre nom de Lucian pour le plaisir de l’anagrammatiser en Calvin. Guy Patin a surnommé Rabelais le Lucien français (Lucianus Gallicus, v. note [5], lettre latine 128).

    7. La Responsio altera ad Ioannem Calvinum [Seconde Réponse à Jean Calvin] {i} de François Baudouin {ii} est un tissu d’invectives contre le réformateur de Genève (mort en 1564), dont cette allusion à Socrate (pages 93‑94) :

      Sed multi audiunt, quod iampridem audivi, te mirifice tibi placere, cum de te præcones quidam tui, qui alios omnes præ te contemptunt et floccifaciunt, accinunt veterem versiculum Ille vir est solus : volitant alii, sicut umbræ, quod quidem ex Homero repetitum, de Scipione quoque dictum fuit : ut ab ea laude minus abhorreat modestia tua. Cumque is etiam Scipio non minus quam Socrates dictus sit ειρων, sæpe audivi honoris causa, tibi eundem titulum ascribi, qui est αλαζων.

      [Bien des gens entendent dire, comme je l’ai bien souvent entendu, que tu te complais merveilleusement de ta propre personne, puisque certains de tes suppôts, qui méprisent et dénigrent tout le monde à part toi, chantent ce vers : Ille vir est solus : volitant alii, sicut umbræ. Il est certes repris d’Homère, {iv} mais on l’a aussi appliqué à Scipion : {v} puisse cette louange rendre ta modestie moins haïssable. Et comme, à l’instar de Socrate, {vi} on a qualifié ce Scipion d’hypocrite, j’ai souvent entendu que, pour tes mérites, on te surnommait l’imposteur].

      1. Paris, Guil. Morelius, 1562, in‑8o de 157 pages.

      2. Franciscus Balduinus (Arras 1520-Paris 1573), juriste et théologien qui n’a pas cessé d’osciller entre catholicisme et protestantisme.

      3. « Cet homme est seul, les autres sont comme des ombres qui volent » : dans le vers ordinaire ment cité, est est remplacé par sapit, pour dire Cet homme est seul à être sage… ».

      4. L’Odyssée chant x, vers 493‑494, à propos de Tirésias, devin aveugle de Thèbes :

        τω και τεθνηωτι νοον πορε Περσεφονεια
        οιω πεπνυσθαι, τοι δε σκιαι αισσουσιν.

        [Il est le seul qu’après sa mort Perséphone ait doué de la clairvoyance ; les autres sont des ombres qui volent].

      5. Solus sapit [Lui seul est sage] est l’adage no 1253 d’Érasme : il sert à quelifier une personne qui s’est ime supérieure à toutes les autres. Son commentaire cite la source homérique et ajoute que :

        Sic et Cato senior de Scipione juniore pronuntiavit, ut narrat Plutarchus in Præceptis civilibus ac rursum in Apophthegmatis Romanorum.

        [Caton l’Ancien a dit la même chose de Scipion le Jeune, comme Plutarque le rapporte dans ses Préceptes civils et dans ses Apophthegmes des Romains].

        V. notes [5] du Manuscrit contre les consultations charitables pour Caton l’Ancien, et [32] du Borboniana 3 manuscrit pour Scipion le Jeune.

      6. Platon, Apologie de Socrate
      7. , où Socrate parle de son fidèle élève, Chéréphon (traduction de Victor Cousin, 1822, tome i, pages 71‑72) :

        « Un jour, étant allé à Delphes, il eut la hardiesse de demander à l’oracle (et je vous prie encore une fois de ne pas vous émouvoir de ce que je vais dire) : il lui demanda s’il y avait au monde un homme plus sage que moi ; la Pythie lui répondit qu’il n’y en avait aucun. […]

        Quand je sus la réponse de l’oracle, je me dis en moi-même : que veut dire le dieu ? Quel sens cachent ses paroles ? car je sais bien qu’il n’y a en moi aucune sagesse, ni petite ni grande ; que veut-il donc dire, en me déclarant le plus sage des hommes ? Car enfin il ne ment point, un dieu ne saurait mentir. »

        Socrate, perplexe, rend alors visite à un homme qui a la réputation d’être le plus sage d’Athènes :

        « Examinant donc cet homme, dont je n’ai que faire de vous dire le nom, il suffit que c’était un de nos plus grands politiques, et m’entretenant avec lui, je trouvai qu’il passait pour sage aux yeux de tout le monde, surtout aux siens, et qu’il ne l’était point. Après cette découverte, je m’efforçai de lui faire voir qu’il n’était nullement ce qu’il croyait être ; et voilà déjà ce qui me rendit odieux à cet homme et à tous ses amis, qui assistaient à notre conversation. Quand je l’eus quitté, je raisonnai ainsi en moi-même : je suis plus sage que cet homme ; il peut bien se faire que ni lui ni moi ne sachions rien de fort merveilleux ; mais il y a cette différence que lui, il croit savoir, quoiqu’il ne sache rien ; et que moi, si je ne sais rien, je ne crois pas non plus savoir ce que je ne sais point. »

    8. Psaume 10 de David : « Dieu abat les impies et sauve les humbles. »

  4. En 1624, parut La Suite du Rabelais réformé. Sur les impertinentes réponses du M. Pejus aux demandes de M. Durand. Avec la Coupelle mystique des ministres au sieur de La Pierre déministré (Au Palais, jouxte la copie imprimée à Mer, in‑8o en 2 parties de 594 et 60 pages), contre Samuel Durand, pasteur calviniste, confrère de Du Moulin à Charenton.

  5. Le Banquet des Sages dressé au logis et aux dépens de Me Louis Servin. Auquel est porté jugement, tant de ses humeurs que de ses plaidoyers, pour servir d’avant-goût à l’inventaire de quatre mille grossiers ignorants et fautes notables y remarquées. Par le sieur Charles de l’Espinœil, gentilhomme picard {a} est une satire, en prose mêlée de vers, décrivant un banquet fictif à quatre services, qui s’attaque aux Actions et plaidoyers de l’avocat général Louis Servin, {b} farouche ennemi des jésuites, qui attaquait régulièrement la politique fiscale et les alliances ultramontaines du roi de France. Le premier quatrain (page 22) de la Complainte de saint Yves {c} contre M. Servin fait référence au dicton sur les oignons :

    « Servin me tient en cette Chambre
    Plus moisi qu’un vieux champignon.
    Il est, pour lui, net comme l’ambre
    et aussi vêtu qu’un oignon. » {d}


    1. Sans lieu ni nom, 1617, in‑4o de 64 pages.

    2. V. note [20], lettre 79, pour l’édition de Paris, 1640, la première ayant paru en 1613.

    3. Le patron des avocats.

    4. « On dit proverbialement qu’un homme est vêtu comme un oignon, pour dire qu’il a plusieurs vêtements les uns sur les autres » (Furetière).

      Mes italiques mettent en exergue le vers qui explique la remarque latine portée dans la marge du Borboniana, que j’ai traduite au tout début de la présente note par « Mieux vêtu qu’un oignon de Gascogne », bien que la page ne soit pas la bonne (32 pour 22) et qu’il n’y soit pas question de Gascogne (Vasconia) ou de Biscaye, contrées dont, à ma connaissance, les oignons n’ont rien de particulier.


    Je n’ai pas trouvé le second pamphlet que Garasse aurait écrit contre Servin.

  6. Quæstiones quodlibeticæ tempori præsenti accommodæ. Ad Illustrissimum S.R.E. cardinalem de Rochelieu seu de Rupella, Negotiorum Status in Regno Galliarum, Supremem Præfectum. Disputabantur in antiqua Sorbona, anno, mense, die, loco consuetis. Præsidebit Mamorectus Iunior, Proponet Actius Sincerus. Respondere multorum vice conabitur Clemens Marottus le Miroir du temps passé.

    [Questions quodlibétaires adaptées au temps présent. Adressées à l’illustrissime M. de Rochelieu ou de La Rochelle, {a} cardinal de la sainte Église romaine, proviseur de l’antique Sorbonne, où elles ont été disputées en l’année, au mois, au jour et au lieu ordinaires. Mamorectus le Jeune y présidera et Actius Sincerus les proposera. Clemens Marottus, le Miroir du temps passé, entreprendra d’y répondre à la place de nombreuses gens]. {b}

    Ces thèses imaginaires de théologie font allusion au pamphlet anonyme intitulé Le Miroir du temps passé, à l’usage du présent. À tous les bons pères religieux, et vrais catholiques non passionnés, {c} dont le frontispice est paré de ces quatre vers :

    « La transmontaine {d} faction
    A fait, par subtil monopole,
    Du manteau de religion,
    Une roupille {e} à l’espagnole. »

    Le livre attribué à Garasse ne contient que les titres des 71 questions quodlibétaires, et se conclut sur deux supplémentaires, sous le titre d’Impertinens [Sans rapport avec ce qui précède] :

    Quid Buckinghamus apud castissimam Galliæ Reginam conatus sit, ut deinceps eius in Galliam reditus Regi Christianissimo omnino displicuerit ? An in eius rei vindictam Regis Sorori Britanniæ Reginæ tot secretis machinationibus molestias facessat, ut ei cum marito rege male sit, et sæpe Galliam respicere et suspirare cogatur infelix Helena ?

    Vidit Bassompierre.
    Imprimatur Nicolaus de Bailleul.

    [Qu’aurait entrepris Buckingham auprès de la très chaste reine de France pour, quand il est revenu en France, avoir tant indisposé le roi très-chrétien ? Dans sa revanche de cette affaire le roi aurait-il occasionné des désagréments à sa sœur, la reine de Grande-Bretagne, pour toutes ses secrètes machinations ? La malheureuse Hélène aurait-elle été souvent contrainte à montrer des égards envers la France et à soupirer pour elle ?

    Vu par Bassompierre.
    Imprimatur de Nicolas de Bailleul]. {f}


    1. Sic pour flatter Richelieu en mêlant son nom au symbole de son plus éclatant triomphe contre les calvinistes.

    2. sans lieu ni nom, 1626, Editio ultima [Édition ultime], in‑4o de 15 pages.

    3. Sans lieu ni nom, 1625, in‑8o : virulent pamphlet de 67 pages contre le clergé français soumis à l’autorité du pape (moines et jésuites).

      Plutôt qu’à la mention de ses Psaumes calvinistes, {i} l’attribution factice du Miroir du temps passé au poète français Clément Marot (mort en 1544, v. note [27], lettre 396) me semble liée à son rondeau nostalgique intitulé De l’Amour du siècle antique (écrit en 1525) :

      « Au bon vieux temps un train d’amour régnait
      Qui sans grand art et dons se démenait,
      Si qu’un {ii} bouquet donné d’amour profonde,
      C’était donner toute la terre ronde,
      Car seulement au cœur on s’en prenait.

      Et si par cas {iii} à jouir on venait,
      Savez-vous bien comme on s’entretenait ?
      Vingt ans, trente ans : cela durait un monde,
      Au bon vieux temps.

      Or est perdu ce qu’amour ordonnait :
      Rien que pleurs saints, rien que changes {iv} on n’oyt : {v}
      Qui voudra donc qu’à aimer je me fonde, {vi}
      Il faut premier {vii} que l’amour {viii} on refonde,
      Et qu’on la mène ainsi qu’on la menait
      Au bon vieux temps. »

      1. Pages 33‑34 du Miroir du temps passé, sur la « Cabale des Religionnaires » (c’est-à-dire des calvinistes) :

        « […] pour prudemment surmonter cette hérésie, il se faut disposer de la combattre dorénavant par bons exemples envers notre prochain, et apr charitables admonitions, sans continuer à nous harper toujours au collet, ni acharner les uns contre les autres à coups de chapelets et de Psaumes de Marot, par un zèle sans science, qui nous porte insensiblement à négliger le salut de la patrie, cependant que l’on s’amuse quelquefois à prêcher frauduleusement le salut de l’âme, et à donner des brocards contre la mémoire de nos rois, contre leurs ministres plus fidèles, contre les parlements, voire contre la Sorbonne, pour haut louer nos ennemis et leur artificielle piété. »

      2. Si bien qu’un…

      3. Chance.

      4. Échanges monnayés.

      5. On n’entend.

      6. Je me décide.

      7. D’abord.

      8. Mot employé au féminin.
    4. Ultramontaine.

    5. Petit manteau dont les Espagnols se vêtaient pour dormir.

    6. Ces trois audacieuses questions politiques visent la Grande-Bretagne anglicane et mettent en scène :

      • l’aventure supposée du duc de Buckingham {i} avec la reine Anne d’Autriche (surnommée Hélène, pour sa beauté) ;

      • la rage de son mari, Louis xiii roi de France, qui accusait sa sœur, Henriette-Marie, épouse de Charles ier roi d’Angleterre, d’avoir ourdi ce scandale ;

      • le maréchal François de Bassompierre {ii}, alors ambassadeur de France à Londres ;

      • le magistrat Nicolas ii Le Bailleul, qui était alors prévôt des marchands de Paris. {iii}

        1. V. note [21], lettre 403.

        2. V. note [10], lettre 85.

        3. V. note [5], lettre 55.

    Charles Nisard a fourni un commentaire détaillé de ces ouvrages dans la Notice (pages vii‑xii) qui introduit son édition des Mémoires de Garasse (François) de la Compagnie de Jésus publiés pour la première fois (Paris, Amyot, 1860).

    V. note [47] du Borboniana 3 manuscrit pour un retour féroce sur les méchancetés et l’impiété du R.P. Garasse.

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    Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
    Borboniana 1 manuscrit, note 37.

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    (Consulté le 24/04/2024)

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