À Charles Spon, le 19 octobre 1655, note 47.
Note [47]

« avec un extrême épuisement des forces, d’où vient une très pesante crainte de mort, tant pour le malade que pour son médecin. “ Partout l’épouvante et la mort aux multiples visages ” [Virgile, v. note [11], lettre 149]. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 19 octobre 1655, note 47.

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(Consulté le 29/03/2024)

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