À Charles Spon, le 10 août 1649, note 5.
Note [5]

« Quoi qu’il en soit ».

V. note [5], lettre 189, pour la mésaventure de Claude Morlot, imprimeur de la Custode de la reine.

Journal de la Fronde (volume i, fo 67 ro, 23 juillet 1649) :

« Le même jour tous les quarteniers, dizainiers, et autres officiers s’assemblèrent pour délibérer sur les moyens d’empêcher à l’avenir qu’on ne fît sauver les criminels, et résolurent d’envoyer des députés à la reine pour l’assurer de la fidélité et obéissance des bourgeois de Paris, et qu’ils n’avaient eu aucune part à la rumeur qui avait été faite pour sauver l’imprimeur Morlot, laquelle ne fut faite que par des gens de néant et sans aveu. Il y eut en même temps différend entre les trois chambres du Parlement qui avaient jugé cet imprimeur et les Enquêtes, ceux-ci prétendant devoir être appelés aux assemblées qui se font pour juger les crimes de lèse-majesté. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 août 1649, note 5.

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(Consulté le 19/04/2024)

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