À André Falconet, le 5 novembre 1649, note 5.
Note [5]

Début de la Satire x de Juvénal :

Omnibus in terris, quæ sunt a Gadibus usque
Auroram et Gangen, pauci dinoscere possunt
vera bona atque illis multum diversa, remota
erroris nebula
.

[Dans tout l’univers, de Cadix au Gange où naît l’aurore, {a} il n’est que bien peu d’hommes qui, dissipant les nuages de l’illusion, sachent discerner les biens véritables de ceux qui leur sont tout à fait contraires].


  1. V. notes [19], lettre 901, pour Cadix, et [22], notule {a}, lettre 197, pour le Gange, limites occidentale et orientale du monde connu des Romains.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 5 novembre 1649, note 5.

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(Consulté le 26/04/2024)

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