À Charles Spon, le 14 juin 1650, note 5.
Note [5]

« On dit proverbialement “ au plus larron la bourse ” quand on confie son argent à une personne infidèle, par allusion à ce qui est dit dans l’Écriture, que Judas [v. note [2] de l’Introduction au Borboniana manuscrit] gardait la bourse et cependant était un larron » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 14 juin 1650, note 5.

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(Consulté le 29/03/2024)

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