À Charles Spon, le 5 juillet 1658, note 5.
Note [5]

C’est-à-dire « choqué, ébranlé » : il semble aujourd’hui bien extravagant de vouloir saigner un homme dans un tel état de choc (collapsus).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 juillet 1658, note 5.

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(Consulté le 25/04/2024)

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