À Charles Spon, le 24 mai 1650, note 59.
Note [59]

« On dit être encore à l’alphabet, pour dire étudier le petit livre qu’on donne aux enfants pour apprendre les lettres » (Furetière). Littré (DLF) a emprunté les trois derniers vers donnés par Guy Patin pour expliquer lit de parade : « lit élevé sur lequel on expose, après leur mort, les personnages de grande distinction. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 24 mai 1650, note 59.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0229&cln=59

(Consulté le 23/04/2024)

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