À Charles Spon, le 6 mai 1650, note 6.
Note [6]

« si on s’en irrite, on laisse croire qu’elles sont fondées, mais elles se fanent si on les dédaigne » : Namque spreta exolescunt ; si irascare, agnita videntur (Tacite, Annales, livre iv, chapitre xxxiv).

V. notes [4], lettre 224, pour l’Apologie royale… de Claude i Saumaise, traduction en français de sa Defensio regia…, [4], lettre 208, pour les Mémoires de Sully, [9], lettre 49, pour ceux de Henri de Rohan, et [24], lettre 220, pour l’Histoire du ministère de Richelieu, par le P. Charles Vialart.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 6 mai 1650, note 6.

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(Consulté le 16/04/2024)

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