Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II, note 62.
Note [62]

« Je réclame un exemple de guérison qu’obtient leur médecine irréfléchie, et qui soit autre chose qu’un traitement mortel, ou plutôt qu’une exécution capitale » : sentence de Louis Duret tirée de ses Hippocratis magni Coacæ Prænotiones [Prénotions coaques du grand Hippocrate] (Paris, 1588, v. note [10], lettre 10), dans le chapitre De morbis vesicæ [Sur les maladies de vessie] (page 360, lignes 55‑56).

Les deux phrases qui précèdent cette citation (lignes 53‑55) ont aussi inspiré Guy Patin :

Hic superstitio esset vel ostentatio, causas adferre cur curando, nulli medicinæ sit locus. Fremant licet omnes Paracelsistæ ; ridicula sunt eorum triscurria.

[Nulle médecine ne permet ici de soigner, vouloir en discuter serait superstition ou vantardise. Bien que les paracelsiste maugréent, leurs bouffonneries sont risibles].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II, note 62.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8169&cln=62

(Consulté le 19/04/2024)

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