À Claude II Belin, le 16 septembre 1637, note 7.
Note [7]

Les eaux de Forges (aujourd’hui Forges-les-Eaux, pays de Bray, Seine-Maritime) étaient alors très à la mode, surtout depuis la cure que Louis xiii y avait faite en 1632 et 1633 (avec la retentissante querelle médicale qui en avait découlé, v. note [15], lettre 17).

Dictionnaire de Trévoux :

« Forges est renommé par ses eaux minérales qui sont très salutaires pour la gravelle {a} et plusieurs autres maladies, et il y a toujours pendant l’été un grand concours de Français et d’étrangers. On dit les eaux de Forges, aller aux eaux de Forges, prendre les eaux de Forges. On transporte aussi ces eaux et on prend les eaux de Forges à Paris et ailleurs. »


  1. V. note [2], lettre 473.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 16 septembre 1637, note 7.

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(Consulté le 25/04/2024)

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