Note [7] |
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« c’est-à-dire la méthode pour remédier, qui est le plus grand mystère de l’art et le secret le plus secret des secrets, hélas connu de bien peu ! » : reprise d’une sentence que Guy Patin avait confiée à Johannes Antonides Vander Linden, qui l’avait citée dans ses Selecta medica… [Morceaux médicaux choisis…] (Leyde, 1656), v. note [1], lettre de Hugues ii de Salins, datée du 3 mars 1657. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 25 juin 1660, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0619&cln=7 (Consulté le 20/09/2024) |