À Charles Spon, le 10 août 1649, note 8.
Note [8]

« Si j’en vois une dont l’air farouche rappelle la rigidité des Sabines, je pense qu’elle a des désirs, mais qu’elle les cache sous ses grands airs » (Ovide, Amours, livre ii, élégie 4, vers 15‑16).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 août 1649, note 8.

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(Consulté le 24/04/2024)

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