À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656, note 9.
Note [9]

V. notes [12], lettre latine 43, pour le « Discours contre les pharmaciens » de Johann Freitag (Groningue, 1633), et [37], lettre 197, pour la querelle qui l’avait opposé à Daniel Sennert en 1636-1638 sur les méfaits de la médecine chimique.

En qualifiant ici Freitag de miles gloriosus [soldat fanfaron] (titre d’une pièce de Plaute où apparaît le premier type du capitan et du matamore), Guy Patin montrait à quel point il vénérait Sennert, poussant le paradoxe jusqu’à dénigrer un auteur qui avait eu l’audace de l’attaquer pour ses complaisances avec le paracelsisme.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 7 juillet 1656, note 9.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1086&cln=9

(Consulté le 18/04/2024)

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