Note [14] | |
Ce bouquet final cherche à lier pêle-mêle nombre de maladies dites internes (sans y mentionner les fièvres) aux perturbations de la circulation sanguine, mais sans renoncer aux canons de la médecine humoriste, dont les derniers éclats ont brillé au début du xixe s. ; v. notes Patin :
Il est moins sage d’en rire que de se demander ce qu’on pensera de notre médecine dans quatre siècles. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre v, note 14. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/pecquet/?do=pg&let=0025&cln=14 (Consulté le 13/06/2024) |