Résumé

De nouvelles recherches effectuées dans les registres des Archives nationales, des Archives de Paris et des Archives de l’Assistance publique, ont abouti à parfaire nos connaissances sur les couteliers Louis Grangeret, ses deux fils Simon-Pierre et Pierre Grangeret, et Pierre-François Grangeret, père et fils.

Summary

In the registers of the « Archives nationals », « Archives de Paris », and the « Archives de l’Assistance publique », new researches have been made which led to improve our knowledges of the Grangeret ‘s famous cutlers-goldsmiths during four generations.

Les couteliers et leurs statuts

Le Guide des corps des Marchands et des Communautés des Arts et Métiers de 1766 nous renseigne sur l’origine des statuts du coutelier (1) :

Leurs statuts sont de 1505, confirmés par lettres patentes du Roi Charles IX.
Ils furent aussi confirmés par Henri III en 1586 et par Henri IV en mars 1608.
On ne peut être Maître sans avoir fait apprentissage et chef-d’oeuvre, excepté les fils de Maîtres qui ont travaillé cinq ans chez leur père.
Ces statuts les nomment Maîtres Feures-couteliers, graveurs, et doreurs, sur fer et acier trempé et non trempé.
Cet art consiste à faire toutes sortes de couteaux, canifs, ciseaux, rasoirs, instruments de chirurgie, etc.

Le Procès verbal de la cour des Monnaies pour l’insculpation des poinçons de Maîtres-Couteliers du 23 septembre 1772, nous révèle qu’au XVIII e siècle les couteliers sont aussi autorisés à travailler l’or et l’argent.

Il a été ordonné que les poinçons qui leur serviront à marquer leurs ouvrages d’or et d’argent de leur profession seront insculpés en la manière accoutumée à coté de leurs noms, gravés sur la table de cuivre accoutumée…

Ce qui explique que les ouvrages de Simon-Pierre, Pierre et Pierre-François Grangeret soient répertoriés dans le catalogue des orfèvres du Musée du Louvre.

Eléments biographiques des « Grangeret » de 1735 à 1834

La première génération

Louis Grangeret, rue Tirecharpe
(aujourd’hui, rue du Pont-neuf)

Le 1er septembre 1735, Louis Grangeret est reçu Maître Coutelier comme apprenti. (2)

Le 27 mars 1740, Louis Grangeret fait partie des quatre jurés présents pour la ratification de la marque de Thomas Vitaligon. (3)

La deuxième génération

Simon-Pierre Grangeret

L’Almanach général des marchands, négociants et armateurs, le situe rue de l’Arbre sec.  (4-5)

Le 16 octobre 1736, naissance à Paris, de Simon-Pierre Grangeret, Paroisse St Germain l’Auxerrois.(6)

Le 26 juin 1758 Simon-Pierre Grangeret est reçu Maître Coutelier comme fils de Maître. (7)

Le 26 août 1770, mariage de Simon-Pierre Grangeret : « fils majeur du défunt Louis Grangeret » avec Marie-Madeleine Thierry (8)

Le 19 août 1772, il est élu juré de la communauté (9)

Le 19 septembe 1772, un Arrêt de la Cour des monnaies accorde à Simon-Pierre Grangeret le K couronné pour poinçon (10)

Le catalogue des Orfèvres du Musée du Louvre décrit au N° 108 , pp 86 : Couteau de voyage, 1773-1774, par S.P. Grangeret, Pl, XCVII, 343 « Manche droit de nacre, monté en or à filets et moulures. Une lame d’or, l’autre d’acier à dos doré. Poinçons et marque du coutelier :K couronné » Collection Puiforcat .

 

Le 5 octobre 1787, décès de Simon-Pierre Grangeret « âgé d’environ 50 ans, frère de Pierre Grangeret » (11)

Le 13 novembre 1787, Inventaire après décès à la requête de sa veuve Marie-Madeleine Thierry ; Pierre Grangeret son frère est nommé à la qualité de tuteur des quatre enfants mineurs.(12)

Les marchandises composant le fond de commerce de coutellerie de Simon-Pierre Grangeret ont été mises en vente par un huissier commissaire-priseur au Chatetet de Paris et estimées par deux Maîtres-couteliers experts, Jean Coignet et Louis Le Sueur « en leur âme et conscience ».

Cet inventaire comprend 62 lots en majorité composés de rasoirs, ciseaux, couteaux dotés souvent de manches de nacre ou d’ivoire et de lames d’acier, d’argent ou d’or.

Les instruments de chirurgie, peu nombreux sont composés de quelques bistouris et de 4 lots de chirurgie dentaire :

  • le lot N°2, «deux pélicans et neufs daviers prisés trente deux livres» ;
  • le lot N°3, «quarante cinq outils à dents et quatre garnitures prisés quarante trois livres»;
  • le lot N°4, «deux douzaines de tire-bouchons, deux autres douzaines de pinces, une autre douzaine de scalpels et une clef à la «Garangeau», prisés trente quatre livres»
  • le lot N°33, «sept trousses à la «Garangeau» non complètes prisées quatre cent vingt huit livres».
Pierre Grangeret, (frère de Simon-Pierre)

Naissance de Pierre Grangeret vers 1731

Le 27 avril 1752, Pierre Grangeret est reçu Maître-Coutelier comme fils de Maître (Registre de réception de Maîtrise de la ville de Paris au Châtelet de Paris (13)

Le 29 mai 1769, mariage entre Pierre Grangeret et Catherine Gaudin.

« Furent présents le Sieur Pierre Grangeret, Marchand Coutelier demeurant rue des Saints Pères, faubourg St Germain, paroisse St Sulpice., fils majeur du défunt Sieur Louis Grangeret, aussi Marchand et Maître coutelier à Paris et de Nicolle-Thérèse Herluison son épouse et maintenant sa veuve ». (14)

Le 19 septembre 1772, Arrêt de la Cour de Monnaies qui accorde à Pierre Grangeret un H couronné. (15)

Le catalogue des orfèvres du Musée du Louvre décrit au N° 107- p.85-86) (16) Paire de couteaux à dessert, 1781-1782 par Pierre Grangeret ,PL.XCVII 351. « Marque : une hermine. Lame d’acier marquée « Grangeret cout. du roi  et H couronné ».

Ce titre indique que Pierre Grangeret était le coutelier attitré de Louis XVI.

Le 27 Nivose an 10 (28 décembre 1801), Donation mutuelle entre Pierre Grangeret et MarieCatherine Gaudin. Pierre Grangeret, Md coutelier et son épouse demeurant rue des Saints Pères N° 42, division de l’Unité 10e arrondissement. (17)

Le 15 Prairial an 10 (4 juin 1802), Déclaration de décès de Pierre Grangeret, décédé rue des Saints Pères N°42. (18)

Le 8 Brumaire an 11, Déclaration de succession de Pierre Grangeret

Le rappel de la communauté de biens spécifiée dans le contrat de mariage du 29 mai 1769 précise : «Pierre (François) son fils seul et unique héritier de Pierre Grangeret décédé à Paris rue des Saints Pères N°42 le 15 Prairial an 10» (19)

Le 4 avril 1850, acte de décès de Marie-Catherine Gaudin, décédée à Charonne Seine, rue de Paris N° 59 à l’age de soixante seize ans. (20)

La troisième génération

Pierre-François Grangeret

Le 23 janvier 1776 naissance à Paris, paroisse St Sulpice.de Pierre-François Grangeret. (21)

Le 27 Floréal an XI (17 mai 1803), adjudication d’un bail à Pierre-François Grangeret, à l’hôpital de l’Unité, rue des Saints-Pères N°45 et 47, pour la période du 20 juin 1803 au 1er juin 1812. Loyer 3090 francs ; notaire Fourchy. (22)

L’hôpital de la Charité,
anciennement hôpital de l’Unité

L’hôpital de la Charité, fondé en 1601 par les frères Saint Jean de Dieu, doit son existence à Marie de Médicis qui fait appel à cette communauté florentine pour soigner les indigents. Deuxième hôpital après l’Hôtel Dieu, la Charité s’est acquise au cours des siècles une solide réputation et qui dure encore sous l’Empire.

La Charité se situe au niveau des numéros impairs, de 39 à 47 de la rue des Saints-Pères.Les numéros pairs 42, 44,46 de cette rue correspondent à l’ancienne numérotation de la période révolutionnaire de l’hôpital dénommée « hôpital de l’Unité ».

Le 19 Vendémiaire an XII (7 octobre 1803), Pierre-François Grangeret est locataire de la division de l’hôpital de l’Unité, rue des Saints-Pères N°44-46. Réparation pour 119 et 34 francs. (23)

1806 : Grangeret est locataire de l’Hôpital de la Charité, rue des Saints-Pères N°45. Travaux de maçonnerie, menuiserie, serrurerie, vitrerie pour 188,39 francs. (24)

Le 25 juin 1812, adjudications de baux pour trois, six ou neuf années au choix des parties. Notaire Champion. (25)

1°) Un bail d’une maison provenant de l’hôpital de la Charité située à Paris rue des Saints Pères N° 41, comprenant « un corps de logis double en profondeur, élevé au-dessus des caves d’un rez de chaussé, de deux étages carrés éclairés chacun de trois croisées sur la rue, d’un étage en mansarde et d’un grenier au-dessus »
Le rez de chaussée est composé « d’un passage de porte cochère, boutique, arrière boutique sur cour au fond de laquelle une petite serre, un cabinet d’aisance et un puits, pour la somme de seize cent francs »
Signée Pierre-François Grangeret, coutelier de S.M. l’Empereur et Roi, demeurant rue des Saints Pères N°45-47.
Le sept août 1812, Madame Jeanne-Antoinette Clerc, épouse de Pierre-François donne son adhésion en l’étude de Maître Champion du procès-verbal d’adjudication du bail.

2°) Un bail d’une maison provenant de l’hôpital de la Charité située à Paris rue des Saints-Pères N° 45 et 47 « composée d’un grand corps de logis sur la rue dans lequel se trouve la grande porte d’entrée de l’hôpital de la Charité, élevée d’un étage en entresol, de trois étages carrés, d’un quatrième en mansarde avec grenier au-dessus, cabinet d’aisance, deux petites cours et puits mitoyen.
Au rez de chaussée, trois boutiques et leurs dépendances » pour la somme de quatre mille francs.
Signé Pierre-François Grangeret, Coutelier de S.M.l’Empereur. demeurant rue des Saints-Pères N°45-47.
Le sept août 1812, Madame Jeanne-Antoinette Clerc, épouse de Pierre-François Grangeret donne son adhésion en l’étude de Maître Champion du procès-verbal d’adjudication du bail.

Le 30 juin 1826, adjudications de baux pour trois, six, neuf années au choix des parties Notaire Champion, (26)

1°) Un bail d’une maison provenant de l’hôpital de la Charité située à Paris rue des Saints Pères N° 41, comprenant le même corps de logis qu’en 1812. pour la somme de2420 francs de loyer » signé Pierre François Grangeret, Md, coutelier du Roi demeurant rue des Saints-Pères N°45 et 47.
Le 25 octobre 1826, Madame Jeanne-Antoinette Clerc, épouse de Pierre-François Grangeret donne son adhésion en l’étude de Maître Champion du procès-verbal d’adjudication bail.

2°) Un bail d’une maison provenant de l’hôpital de la Charité située à Paris rue des Saints-Pères N° 45 et 47 « composée des mêmes locaux qu’en 1812 ; pour la somme de 6320 francs de loyer.
Signé Pierre-François Grangeret, Marchand-Coutelier du Roi. Demeurant rue des Saints-Pères N°45 et 47.
Le 25 octobre Madame Jeanne-Antoinette Clerc a donné son adhésion au procès-verbal de l’adjudication du bail.

3°) Transfert de bail de Monsieur de La Gastine à Pierre-François Grangeret concernant une maison située rue des S aints-Pères N° 49.

Les boutiques de l’hôpital de la charité, rue des Saints-Pères

Elle se situe dans un bâtiment de la chapelle Saint Pierre désaffectée qui avait été adjoint à l’hôpital de la Charité en 1776. Elle comprend « un corps de logis sur la rue composé d’un rez de chaussé, d’un entresol et de deux étages carrées avec grenier au-dessus »

A cette date il est ainsi locataire de quatre boutiques. Le libellé des signatures des baux de 1826 atteste que Jean-François Grangeret est le coutelier attitré de Charles X. (27)

Le catalogue de l’orfèvrerie du Musée du Louvre décrit au N°301, pp 208 Couteau, 1819- 1830, par Pierre-François Grangeret. PL. XCIV, 371

Le couteau, le médaillon et les poinçons

 

Ivoire et or. Le manche en ivoire côtelé est doté d’un médaillon ovale d’or ciselé aux Armes de France : d’azur à trois fleurs de lis d’or.
Inscription sur l’épaisseur du manche: « GRANGERET COUTELIER DU ROI»
L’écu est sommé de la couronne royale et entouré des colliers des Ordres de St Michel et du Saint-Esprit.
Poinçons : Maîtrise de Pierre-François Grangeret,- 3e titre or, Paris 1819-1838 -Grosse garantie or 1819-1838.
Provient du Mobilier de la couronne.

L’auteur du catalogue ne précise pourtant pas si la couronne royale se rapporte à Louis XVIII ou à celle de Charles X. Pour résoudre cette énigme nous nous sommes référés à l’ouvrage d’Olivier, Hermal et Roton qui consacrent un chapitre entier aux armes de Louis XVIII et un second à celles de Charles X. (28) Ces deux rois étant fils de Louis, dauphin, fils de Louis XV et de Marie-Josèphe de Saxe, leurs armoiries présentent de grandes similitudes et une grande variété de modèles. Dans le chapitre sur Louis XVIII, les auteurs précisent :

« Les fers de Louis XVIII sont extrêmement simples : pas d’ornementation tout au plus deux branches entrelacées »

Le modèle N°7 des Pl. 2497 de Louis XVIII.

Le modèle 4,5 et 7 des Pl. 2497 correspond tout à fait à la simplicité des armoiries du médaillon du couteau de Grangeret.

Par contre tous les modèles présentés dans le chapitre sur Charles X sont richement ornés et sans similitude avec celui de Grangeret.

Les auteurs soulignent « que les fers propre à Charles X ont pour caractéristique, l’adjonction du bonnet à l’intérieur de la couronne et des armes de Navarre qui viennent s’accoler aux armes de France. »

Tous ces éléments nous permettent d’attribuer les armoiries du couteau de Grangeret à Louis XVIII.

Le Poinçon d’orfèvre
de Pierre-François Grangeret

En 1796, un Arrêté du Directoire du 21 Brumaire an V rétablit l’obligation pour les fabricants en métaux précieux d’avoir un poinçon. Et c’est en 1797 que la loi relative à la surveillance du titre et à la perception des droits de garantie des matières et d’ouvrages d’or et d’argent est promulguée. (19 Brumaire an VI). Elle met fin au laxisme et aux fraudes engendrés par l’abolition des Jurandes et Maîtrises de la loi Le Chapelier du 2 mars 1791.

L’ouvrage d’Armington, Beaupuis et Bilinoff, nous apprend au N°02946 qu’un poinçon d’orfèvre a été accordé à Pierre-François Grangeret en 1805-1806. (29)

Le poinçon comprend « Un triangle avec une tête de Mercure au-dessus »
Grangeret Jean-François. La coutellerie. (Coutelier de Sa Majesté l’Empereur et roi)
45 rue des Saints-Pères.
Insculpation : 1805-1806. N°de Préfecture : 869. N° de Garantie : 799.

Documentation :

  • Archives de la Garantie, Paris, Planche d’insculpation N°12.
  • Almanach du commerce 1806, Drouet (SP).
  • Tableau des symboles de l’Orfèvrerie de Paris, 1806.
  • Almanach Azur 1811 à 1822.
  • Jean Boivin : Les anciens orfèvres français et leurs poinçons 1925, N° 297 Grangeret Pierre François : « Un triangle avec une tête de Mercure au-dessus » Coutelier de sa Majesté l’Empereur et Roi.(30)

La Quatrième génération

Sur l’Almanach du commerce de 1829 et 1830, il est écrit : Grangeret fils rue St Honoré N°278.

Les Archives nationales précisent que le 27 mars 1834, Pierre François Grangeret fils renouvelle le bail de la maison provenant de l’hôpital de la Charité située 45 et 47 rue des Saints-Pères composée de locaux identiques à ceux de 1812.pour la somme de cinq mille francs, adjugée à « Pierre-François Grangeret fils, marchand coutelier, demeurant Rue des-Saints-Pères N°45 »

Le 8 août 1936, Madame Pauline Vimeux, épouse de M. Grangeret fils a donné son adhésion, au procès-verbal de l’adjudication du bail.

Ce document révèle que le fils de Pierre-François Grangeret n’a plus les titres honorifiques de son père (36)

Le 28 décembre 1843, un second mariage est enregistré de Pierre-François Grangeret fils « coutelier Rue St Lazare N°120, fils majeur de Pierre François et de Jeanne-Antoinette Clerc son épouse d’une part et de Marie-Anastasie Chidé »(37)


Signatures de Pierre-François Grangeret, père et fils.

 

Remerciements : Nous tenons à exprimer notre gratitude à Anne Dion-Tenenbaum,
Conservateur au département des Objets d’arts du Musée du Louvre pour son précieux concours et un chaleureux merci
pour l’accueil qu’elle nous a réservé pour effectuer les photos des pièces du Musée.

Bibliographie

1 Guide des corps des marchands et des communautés des arts et métiers. A Paris, chez la Veuve Duchesne, Librairie, rue Saint Jacques. M, DCC LXVI. (B.N.4049)
2 (Arch.nat. Y/9323)
3 (Arch.nat. Minutier central ET/XVI/699)
4 (1799 (BN V 25867),
5 (1785 (BN V 25868)
6 (Arch. de Paris, Fiche alphabétique des Actes de naissance antérieurs à 1860, 5 MI 2 864)
7 (Arch.nat. Y/9329)
8 (Arch. Nat. Minutier central ET/XXXIV/677)
9 (Arch. nat. Y/2332)
10 (Arch. nat. Z/1B/429)
11 (Extrait du registre de l’acte de décès des Arch. de Paris)
12 (Arch. nat. Minutier central, ET/XCVII/558)
13 Registre de réception de Maîtrise de la ville de Paris au Châtelet de Paris. (Arch. nat. Y 9327)
14 (Arch.nat. Minutier central, ET/ X/ carton /610, Me Collet notaire)
15 Arch. nat. Z/1b/429)
16 Musées nationaux, Départements des objets d’arts, Musée du Louvre et Musée de Cluny, Catalogue de l’orfèvrerie du XVIIe, du XVIIIe, du XIXe siècle. Paris, Edition des Musées nationaux 1958, pp.85-86. (Département des objets d’arts du Musée du Louvre)
17 (Arch. Nat., Minutier central ET/VIII/1333)
18 (Arch. de Paris DQ8 71 et 140)
19 (Arch. de Paris DQ7 1787)
20 (Arch. de Paris, DQ8 915-Archives du département de Seine-St Denis)
21 (Arch. de Paris; (Fiche alphabétique des actes de naissance antérieurs à 1860- 5MI 2 864)
22 (Arch. de l’AP-HP, 435 FOSS 1)
23 (Arch. de l’AP-HP, An XI à An XIII, Cote : 136 Foss V- F° 428)
24 (Arch. de l’AP-HP, 1806, cote :136, Foss VI, F° 61-63)
25 (Arch. de l’AP-HP, 435 FOSS 1, Arch.nat., ET/LVI/536)
26 (Arch. nat. ET/LVI/631-632)
27 (Arch. nat. MC, Et/ LVI/ /631-632) répertoire 22. (Arch. de Paris, Sommier foncier DQ8 330
28 OLIVIER Eugène, HERMAL Georges, et ROTON ; Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises. Paris Ch. Bosse, 1933. 25e séries (Souverains et Princes français) 3e partie, Pl. 2486 à 2501. (B.H.V.P.-4° K 14)
29 ARMINJON Catherine, BEAUPUIS James, BILINOFF Michèle : Dictionnaire des poinçons de fabricants parisiens d’ouvrages d’or et d’argent, Paris, 1798-1838, t. I, N°02946,pp 292. (B.H.V.P., 149364, p 1991-94),
30 BOIVIN Jean, Les anciens orfèvres français et leurs poinçons, Paris, 1925, N° 297 (B.N. Fol LN 10, 297)