À Charles Spon, le 1er janvier 1665
Note [1]
Sénèque le jeune, Consolatio ad Helviam [Consolation à Helvie], chapitre i, § 2 :
Nam in morbis quoque nihil est perniciosus quam immatura medicina.[Car dans les maladies aussi, rien n’est plus dangereux que les remèdes précipités].