Une
encyclopédie visuelle de la syphilis
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Syphilis primaire : le chancre
Sur 100 hommes affectés de chancres, écrivait
Fournier, « 94 présentent leurs chancres aux organes génitaux.
(…) Chez la femme, les chancres des grandes lèvres sont les plus
communs de tous [114 sur 249 cas]. » |
Chancres syphilitiques du fourreau de la verge ; forme
érosive, large ulcération superficielle provenant de la fusion de deux chancres
voisins. |
« En leur qualité de chancres cutanés, ils se présentent
souvent sous la forme dite ecthymateuse ou croûteuse, laquelle n’est pas sans
donner le change quelquefois pour des lésions d’un tout autre ordre. »
(A. Fournier, Traité de la syphilis. Paris, Rueff, 1898) |
Coll musée de l’hôpital
Saint-Louis |
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Chancre syphilitique du gland ;
période initiale (du 3ème au 4ème jour).
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«Sur la surface même du gland, le chancre ne présente guère
que sous la forme d’une lésion plate, à induration exclusivement lamelleuse,
étalée en carte de visite. Souvent même dans sa forme érosive, il n’est doublé
que d’une lamelle extrêmement fine, aussi fine qu’une feuille de papier
(induration dite papyracée). » (A. Fournier, Traité
de la syphilis. Paris, Rueff, 1898) |
Coll musée de l’hôpital Saint-Louis
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Chancre syphilitique forme
ulcéreuse de la grande lèvre. |
« Le chancre des grandes lèvres est, de tous, le plus commun.
(…) Le chancre est le plus souvent régulier comme configuration, arrondi ou bien
ovalaire verticalement. Erosif ou exulcéreux en général, plus rarement ulcéreux,
il aboutit presque toujours à la forme papuleuse, surtout un terme avancé de son
évolution. » (A. Fournier, Traité de la syphilis.
Paris, Rueff, 1898) |
Coll musée de
l’hôpital Saint-Louis |
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Chancres syphilitiques du fourreau de la verge ; forme
érosive, large ulcération superficielle provenant de la fusion de deux chancres
voisins. |
Chancre syphilitique du gland ;
période initiale (du 3ème au 4ème jour).
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Chancre syphilitique forme
ulcéreuse de la grande lèvre. |
Chancre syphilitique de la grande lèvre droite ; forme
phagédénique. |
« Le chancre des grandes lèvres est, de tous, le plus commun.
(…) Le chancre est le plus souvent régulier comme configuration, arrondi ou bien
ovalaire verticalement. Erosif ou exulcéreux en général, plus rarement ulcéreux,
il aboutit presque toujours à la forme papuleuse, surtout un terme avancé de son
évolution. » (A. Fournier, Traité de la syphilis.
Paris, Rueff, 1898) |
Coll musée de l’hôpital
Saint-Louis |
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Chancre syphilitique de la grande lèvre droite ; forme
phagédénique. |
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Chancres syphilitiques de la grande lèvre droite ;
forme papuleuse (piqueté hémorragique). |
« Le chancre des grandes lèvres est, de tous, le plus commun.
(…) Le chancre est le plus souvent régulier comme configuration, arrondi ou bien
ovalaire verticalement. Erosif ou exulcéreux en général, plus rarement ulcéreux,
il aboutit presque toujours à la forme papuleuse, surtout un terme avancé de son
évolution. » (A. Fournier, Traité de la syphilis.
Paris, Rueff, 1898) |
Coll musée de l’hôpital Saint-Louis |
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Chancres syphilitiques de la grande lèvre droite ;
forme papuleuse (piqueté hémorragique). |
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Chancre syphilitique du gland. |
«Sur la surface même du gland, le chancre ne présente guère
que sous la forme d’une lésion plate, à induration exclusivement lamelleuse,
étalée en carte de visite. Souvent même dans sa forme érosive, il n’est doublé
que d’une lamelle extrêmement fine, aussi fine qu’une feuille de papier
(induration dite papyracée). » (A. Fournier, Traité
de la syphilis. Paris, Rueff, 1898) |
Coll musée de l’hôpital Saint-Louis |
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Chancre syphilitique du gland. |
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