À Claude II Belin, le 28 octobre 1631
Note [12]
« qui n’est pas le seul à s’être lourdement trompé. »
La « vie propre » de Jean Fernel manuscrite, que Guy Patin avait en mains, ne pouvait être la Vita Fernelii, connue de tous, qui a été écrite par Guillaume Plancy et publiée en 1607 avec l’Universa Medicina [Médecine universelle] de Fernel (v. note [1], lettre 80).