À Johannes Antonides Vander Linden, les 28 octobre et 7 novembre 1660
Note [12]
La Réplique de M. de Girac à M. Costar, où sont examinées les bévues et les invectives du livre intitulé Suite de la Défense de M. de Voiture (Leyde, sans nom, 1660, in‑8o, réédition augmentée à Paris, Louis Billaine, 1664, in‑4o) prolongeait la vive querelle littéraire engagée en 1650 entre Thomas Paul, sieur de Girac, l’abbé Pierre Costar, Jean-Louis Guez de Balzac et Vincent ii Voiture (v. notes [5], lettre 323 et [4], lettre 542).