À Charles Spon, le 8 octobre 1649
Note [13]
« mon avoir, mon aide, mon attention et mon conseil » ; réminiscence possible, mais altérée, de L’Andrienne de Térence (acte ii, scène 1, vers 320, avec remerciements à Marie-France Claerebout pour avoir débusqué cette référence) :
Ad te advenio, spem, salutem, auxilium, consilium expetens.
[Je viens à toi pour te demander espoir, salut, aide et conseil].