Note [13]
« Les dons du roi, les privilèges qu’il accorde s’expédient par lettres patentes sujettes à vérification » (Furetière).
Les « lettres de don » citées ici pouvaient être les lettres patentes du roi, datées du 25 septembre 1640 (v. note [7], lettre 57), attribuant au Bureau d’adresse le double privilège de tenir des consultations charitables et de posséder des fourneaux pour la préparation des médicaments chimiques.