« pourvu qu’il fasse ses affaires : “ Il a l’impudence d’une putain, il ne sait plus rougir ” [Jérémie, v. note [2], lettre 90]. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 6 mai 1650, note 15.