À Charles Spon, le 20 février 1654
Note [2]
« je dois tout ce que j’acquitte, mais je suis encore en dette de ce que j’acquitte » ; Saint Augustin (Lettres, cxciii, § 2) : {a}
Proinde, domine frater, mutuam tibi caritatem libens reddo, gaudensque recipio : quam recipio, adhuc repeto : quam reddo, adhuc debeo.
[C’est pourquoi, Seigneur mon frère, j’ai plaisir à te rendre les devoirs de la charité et me réjouis de recevoir les tiens : ce que je reçois de toi, je te le réclame encore ; ce que je te rends, je te le dois encore].
- Écrite en 418 à son vénérable seigneur, et cher et saint frère Célestin son collègue dans le diaconat.